Numérisation
Le CODHOS participe à un programme de numérisation de documents détenus par ses différents membres en collaboration avec Gallica. en savoir +
Collectif des centres de documentation
en histoire ouvrière et sociale
Les Jocondes du CODHOS
6.Années 50 et 60 : Guerre froide, anticolonialisme et tiers-mondisme
-
Carte de solidarité au Vietnam des apprentis de la Fédération CGT des cheminots, [1946-1954]
informations
Carte de solidarité des apprentis cheminots CGT distribuée au centre d’apprentissage SNCF de Dôle. Le centre de Dôle aurait fermé ses portes en 1956.
Titre :Carte de solidarité au Vietnam des apprentis de la Fédération CGT des cheminots, [1946-1954]
Créateur :
Sujet :Solidarité Vietnam
Collection :Collection René Lagorse, IHS-CGT cheminot
Gestion de droits :Contacter IHS-CGT cheminot
© :
![Carte de solidarité au Vietnam des apprentis de la Fédération CGT des cheminots, [1946-1954]](http://www.codhos.org/wp-content/uploads/2015/03/solidarite_vietnam_0741.jpg)
-
jarlaud-uff-1949
informations
Titre :jarlaud-uff-1949
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-uff-1949bis
informations
Titre :jarlaud-uff-1949bis
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-mvtintellectuels franc¦ºais-1949
informations
Titre :jarlaud-mvtintellectuels franc¦ºais-1949
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-mvtintellectuels franc¦ºais-1949bis
informations
Titre :jarlaud-mvtintellectuels franc¦ºais-1949bis
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-france-urss-1950
informations
Titre :jarlaud-france-urss-1950
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-france-urss-1950bis
informations
Titre :jarlaud-france-urss-1950bis
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
Affiche-tract « Voyageurs ! Attention ! Votre sécurité est en danger », 11 novembre 1950
informations
Affiche-tract à l’attention des usagers. Le 3 novembre 1950, un cheminot du poste de visite de Montparnasse, est arrêté alors qu’il distribue aux voyageurs du rapide Paris-Le Mans un tract qui dénonce la décision de la SNCF de supprimer l’aide électricien de l’équipage habituel des locomotives électriques. Il est alors condamné à 3000 francs d’amende, au prétexte que le tract ne porte pas la mention de l’imprimeur. Suivant les recommandations du Ministère des travaux publics et des transports, la direction de la SNCF rompt ensuite toute relation avec la Fédération CGT des cheminots. A partir du 23 novembre 1950, aucun agent n’est maintenu dans la position de « service libre », prévue par le protocole, mesure qui entraîne le non-paiement du salaire des permanents syndicaux.
Titre :Affiche-tract « Voyageurs ! Attention ! Votre sécurité est en danger », 11 novembre 1950
Créateur :Fédération CGT des travailleurs des chemins de fer
Sujet :Sécurité ferroviaire, relations sociales
Collection :Fonds des affiches IHS-CGT cheminot
Gestion de droits :Contacter IHS-CGT cheminot
© :
-
jarlaud-france-urss-1951
informations
Titre :jarlaud-france-urss-1951
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-france-urss-1951bis
informations
Titre :jarlaud-france-urss-1951bis
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
jarlaud-france-urss-1951ter
informations
Titre :jarlaud-france-urss-1951ter
Créateur :
Sujet :Odette Jarlaud est née en 1911 dans le village de Villers-la-Faye au nord de Beaune. Orpheline de père à l’âge de 6 ans, ce dernier étant mort au front, elle vécut avec sa mère. Elle devint institutrice après avoir fréquenté l’école normale de Dijon. Elle commença à enseigner en 1929 à Menesble au nord du département jusqu’en 1933 où elle se rapprocha de la capitale dijonnaise en obtenant un poste à Etaules. Aux alentours de 1937, elle reprit ses études et fréquenta la faculté des sciences de Dijon où elle obtint des certificats qui lui permirent d’enseigner dans un cours complémentaire, en l’occurrence à Beaune, cela jusqu’en 1943. Elle était alors déjà une militante expérimentée. Elle avait adhéré à la CGTU à la fin des années 1920 et en 1934 elle était trésorière du groupe des jeunes. L’année suivante elle était membre du bureau de la section départementale. D’autre part sa participation à la grève du 30 novembre 1938 lui valut l’hostilité de son inspecteur d’Académie qui demanda des sanctions contre elle, sans succès semble-t-il. Par ailleurs elle adhéra à une date inconnue au Parti communiste français en 1934 ou 1935, les sources divergent sur ce point. Elle s’impliqua tout particulièrement dans l’élaboration du Travailleur de Bourgogne s’efforçant avec beaucoup de difficultés de donner vie à cette publication, cela malgré l’aide d’autres militants du cru, souvent eux-mêmes enseignants. Elle milita également dans diverses organisations comme en attestent les documents proposés. La période de l’Occupation constitua une période à part dans la vie de cette militante. A partir de 1940 elle commença à nouer des contacts et à développer une activité résistante de plus en plus significative, de la peinture de graffitis sur les murs à la réalisation de faux papiers. L’année 1943 fut par ailleurs marquée par la réalisation, avec d’autres, de la Bourgogne Combattante dont six numéros parurent entre les mois de mars et d’octobre. Considérant que sa situation devenait intenable, elle passa dans la clandestinité et devint agent de liaison pour les FTP dans le département de la Marne. En février 1944 elle passa en région parisienne où elle oeuvra pour la CGT clandestine avant de revenir en province à partir du mois de mars 1944. Elle contribua alors à la reconstitution des structures du SNI dans les départements de l’Ain, de la Côte-d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs. Ces diverses activités lui valurent d’obtenir la médaille de la Résistance. A la Libération, elle eut un poste d’enseignante au cours complémentaire de la Trémouilles à Dijon dont elle devint la directrice en 1965, poste qu’elle conserva jusqu’à son départ en retraite. Parallèlement elle reprit ses activités militantes au sein du PCF et de la CGT. Elle fut membre du comité fédéral pendant de longues années, jusqu’en 1965 et en 1951 elle brigua un mandat de député. En 1999 elle était toujours au moins proche de ce parti, contribuant pour une somme de 500F00 à une souscription lancée pour sauver L’Humanité. Toujours membre de la CGT, elle représenta cette dernière dans diverses commissions et fut membre du secrétariat de l’union départementale CGT de Côte-d’Or. Elle contribuait également à la direction du cartel des Services publics. En 1950, elle fut chargée de la mise en place d’une union locale à Dijon. Dans ce segment de parcours, l’année 1954 constitua une rupture dans le sens où, obligée de choisir entre le SNI et la CGT, elle opta pour le premier et s’y consacra désormais. Enfin, dès 1946, elle s’était impliquée dans les activités de la MGEN.
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
Article de Maurice Dommanget dans l’École libératrice du 8 mars 1951 : « L’anniversaire du 18 mars. La Commune de Marseille. »
informations
Titre : Article de Maurice Dommanget dans l’École libératrice du 8 mars 1951 : « L’anniversaire du 18 mars. La Commune de Marseille. »
Créateur :
Sujet :
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
Carte de l’esclavage en URSS
informations
Paris : Centre d’archives et de documentation, 1951 1 f. : nr et blc ; 55×44 cm
Titre :Carte de l’esclavage en URSS
Créateur :Centre d’archives et de documentation (d’après AFL)
Sujet :URSS, goulag
Collection :
Gestion de droits :Bibliothèque d’histoire sociale-La Souvarine
© :
-
Règlement des retraites de la SNCF (régime de 1911) commenté par la Fédération nationale des cheminots CGT, supplément à la Tribune des cheminots, n°38, 1e janvier 1952, 32 p.
informations
Brochure éditée par la Fédération CGT des cheminots commentée par son Secrétariat fédéral et à destination des cheminots syndiqués ou non. Préfacée par Raymond Tournemaine, elle est mise en vente au prix de 50 francs.
Titre :Règlement des retraites de la SNCF (régime de 1911) commenté par la Fédération nationale des cheminots CGT, supplément à la Tribune des cheminots, n°38, 1e janvier 1952, 32 p.
Créateur :Fédération nationale des travailleurs des chemins de fer (CGT)
Sujet :Protection sociale, régime de retraite, facilités de circulation
Collection :Fonds des brochures, 1 D 17
Gestion de droits :Contacter IHS-CGT cheminot
© :
-
« Exigeons la libération du patriote Henri Martin »
informations
affiche papier – 120 x 80 cm
Titre :« Exigeons la libération du patriote Henri Martin »
Créateur :Comité national de défense Henri Martin, 1953
Sujet :Affiche diffusée en 1953 pour réclamer la libération Henri Martin, alors emprisonné depuis mars 1950 pour acte de trahison, militant contre la guerre en Indochine.
Collection :Issue des fonds de la Bibliothèque marxiste de Paris – Archives du Parti communiste français. Conservée aux Archives départementales de la Seine-Saint-Denis (89 FI 2344)
Gestion de droits :Archives du Parti communiste français
© :
-
Vous qui rêvez de jours meilleurs, voici comment passer du rêve à la réalité Créateur : PCF
informations
Paris : PCF, 1953 ? 23 p. ; 20 cm
Titre :Vous qui rêvez de jours meilleurs, voici comment passer du rêve à la réalité Créateur : PCF
Créateur :
Sujet :Communisme, propagande
Collection :C36 BRO19_29
Gestion de droits :Bibliothèque d’histoire sociale-La Souvarine
© :
-
Suzanne Bureau fait signer une pétition, les pieds dans la neige, 12 janvier 1954
informations
Suzanne Bureau, garde-barrière, après s’être engagée dans la Résistance sera la première femme élue au Conseil national de la Fédération CGT des cheminots en 1945 et déléguée auprès du directeur général de la SNCF. Elle fait signer une pétition « contre les accords de Londres, pour la paix, la sécurité collective et le désarmement », les pieds dans la neige.
Titre :Suzanne Bureau fait signer une pétition, les pieds dans la neige, 12 janvier 1954
Créateur :
Sujet :Femmes, activités militantes
Collection :Fonds iconographique IHS-CGT cheminot
Gestion de droits :Contacter IHS-CGT cheminot
© :
-
Manifestation des métallos nantais en septembre 1955
informations
Photo publiée dans Ouest France du 10-11 septembre 1955. Au premier rang, certains syndicalistes nantais de premier plan parmi lesquels Gilbert Declercq, Marcel Guihéneuf, Pierre Evain, Gaston Jacquet ou encore Roger Gourdel…
Titre :Manifestation des métallos nantais en septembre 1955
Créateur :
Sujet :L’année 1955 est marqué par un long conflit social touchant la métallurgie et le bâtiment nazairien puis nantais (mars – octobre 1955). Conflit mené dans l’unité syndicale et qui marquera longtemps la mémoire locale du fait des affrontements violents qui opposèrent la classe ouvrière aux forces de l’ordre. Ce conflit renforça l’image qualifiée d’anarcho-syndicaliste du mouvement ouvrier local.
Collection :CFDT métaux de Nantes et région.
Gestion de droits :CHT
© :
-
Etre ou ne pas être : l’acteur hongrois, héros de la Révolution d’Octobre
informations
Paris ; Fédération internationale des spectacles ; Fédération syndicaliste des spectacles Force-ouvrière, 1956 22 p. : ill. ; 24 cm
Titre :Etre ou ne pas être : l’acteur hongrois, héros de la Révolution d’Octobre
Créateur :Kolozsvary, Gyula ; Maulnier, Thierry (préf.)
Sujet :Hongrie, insurrection, 1956
Collection :E41 BRO1_32
Gestion de droits :Bibliothèque d’histoire sociale-La Souvarine
© :
-
Pour une solution en Algérie- 21 juillet 1956
informations
Titre :Pour une solution en Algérie- 21 juillet 1956
Créateur :Conférence nationale étudiante pour une solution au problème algérien
Sujet :Guerre d'Algérie
Collection :Fonds Robert Chapuis
Gestion de droits :Cité des mémoires étudiantes
© :
-
« Négocions la paix avec le peuple algérien »
informations
affiche papier – 58 x 39 cm
Titre :« Négocions la paix avec le peuple algérien »
Créateur :Parti communiste français, 1957
Sujet :Affiche diffusée en 1957 pour réclamer la reconnaissance du droit à l'indépendance de l'Algérie.
Collection :Archives du Parti communiste français. Affiche conservée aux Archives départementales de la Seine-Saint-Denis (89 FI 185)
Gestion de droits :Archives du Parti communiste français
© :
-
Couverture de la brochure éditée par le PUMSUD (Pour Un Mouvement Syndical Uni et Démocratique), 1958
informations
Titre :Couverture de la brochure éditée par le PUMSUD (Pour Un Mouvement Syndical Uni et Démocratique), 1958
Créateur :
Sujet :
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
L’étudiant de France du 01/11/1960
informations
Publication de l’UNEF
Titre :L’étudiant de France du 01/11/1960
Créateur :UNEF
Sujet :Guerre d'Algérie
Collection :Fonds documentaire Cité des mémoires étudiantes
Gestion de droits :Cité des mémoires étudiantes
© :
-
La paix doit être conquise et non pas attendue. Une de Tribune socialiste du 11 mars 1961.
informations
Titre :La paix doit être conquise et non pas attendue. Une de Tribune socialiste du 11 mars 1961.
Créateur :
Sujet :Campagne pour la paix en Algérie
Collection :ITS
Gestion de droits :ITS
© :
-
Afiiche « Sécurité sociale Vache à lait »
informations
Titre :Afiiche « Sécurité sociale Vache à lait »
Créateur :UNEF
Sujet :
Collection :Fonds documentaire Cité des mémoires étudiantes
Gestion de droits :Cité des mémoires étudiantes
© :
-
Manifestation et meeting ouvriers-paysans « Pour que vive la Loire-Atlantique » à Nantes le 19 février 1964
informations
La foule des manifestants rassemblée sur la place du Champs de Mars.
Titre :Manifestation et meeting ouvriers-paysans « Pour que vive la Loire-Atlantique » à Nantes le 19 février 1964
Créateur :
Sujet :Durant longtemps cette manifestation, forte de 70000 participants, sera la plus imposante que la Loire-Atlantique ait connue. En cette année 1964, ouvriers et paysans se sont unis autour d’une revendication essentielle : le plein emploi, autrement dit le développement économique du territoire. Revendication qui s’incarnera durant une décennie par un même slogan : « L’Ouest veut vivre ! »
Collection :Union départementale CFDT de Loire-Atlantique.
Gestion de droits :CHT
© :
-
Affiche « Contre la discrimination, pour les libertés syndicales, jouons gagnons », 1964
informations
En avril 1964, la Fédération CGT des cheminots lance une campagne de placement de bons de soutien. Elle dénonce la discrimination pratiquée à son encontre ; notamment la répartition arbitraire des subventions destinées à la formation des cadres syndicaux, la révocation depuis 1948 de ses représentants au Conseil d’administration de la SNCF, le non-paiement des permanents syndicaux par la SNCF ce qui est le cas pour les autres fédérations syndicales.
Titre :Affiche « Contre la discrimination, pour les libertés syndicales, jouons gagnons », 1964
Créateur :Fédération CGT des cheminots
Sujet :Relations sociales, discriminations, libertés syndicales
Collection :Fonds des affiches IHS-CGT cheminot
Gestion de droits :Contacter IHS-CGT cheminot
© :
-
Note de Charles Martial « Pour éclairer le problème des tendances au sein de la FEN » Novembre 1965.
informations
Titre : Note de Charles Martial « Pour éclairer le problème des tendances au sein de la FEN » Novembre 1965.
Créateur :
Sujet :
Collection :
Gestion de droits :
© :
-
Le parti de votre avenir. PSU
informations
Affiche. 1966
Titre :Le parti de votre avenir. PSU
Créateur :Claude Picart
Sujet :
Collection :ITS
Gestion de droits :ITS
© :
-
A l’intérieur du bidonville de Nanterre. Photographie de Jean Pottier, années 1960
informations
Photographie. Tirage noir et blanc
Titre :A l’intérieur du bidonville de Nanterre. Photographie de Jean Pottier, années 1960
Créateur :Jean Pottier
Sujet :France. Immigration. Conditions sociales
Collection :BDIC (Bibliothèque de documentation internationale contemporaine), Musée d’histoire contemporaine, Fonds Jean Pottier
Gestion de droits :
© :
