Numérisation
Le CODHOS participe à un programme de numérisation de documents détenus par ses différents membres en collaboration avec Gallica. en savoir +
Collectif des centres de documentation
en histoire ouvrière et sociale
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Drapeau en tissu de couleur, brodé. 75 x 135 cm.
Journal papier. 43 x 57 cm. Imprimé à l’imprimerie populaire d’Oyonnax, puis à la Maison du Peuple de Saint-Claude.
Les délégués au congrès, le 17 juin 1901. La Fédération nationale des mécaniciens et chauffeurs est fondée en septembre 1900 et tient son premier congrès quelques mois plus tard. Elle fusionnera en 1917, sous l’impulsion de son dirigeant Lucien Midol, avec d’autres organisations pour donner naissance à la Fédération nationale des travailleurs des chemins de fer de France.
Manuscrit autographe signé, sous forme de cahier, 258 p., 21 cm.
Reproduction de la première page d’après l’original conservé par le CHT.
Peinture. Inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques.
Cliché numérique couleur. Vue de la façade ouest (coté Bienne), prise lors du centenaire du bâtiment (2010
En octobre 1910, à l’époque des compagnies privées de chemin de fer, a lieu la première grande grève des cheminots français. La Fédération des mécaniciens et chauffeurs et le Syndicat national des cheminots exigent du gouvernement l’instauration d’un salaire minimum journalier de cinq francs. Celle que l’on a appelé la « grève de la thune » (le mot « thune » désigne une pièce de cinq francs) est fortement réprimée, plus de 3 000 cheminots sont révoqués. Un an plus tard, deux revendications sont satisfaites : le salaire journalier de cinq francs est accordé, un statut réglemente désormais les carrières. Un règlement général des retraites voit le jour début 1911.
Carte postale, 9 x 14 cm, recto
Carte postale, 9 x 14 cm, verso
Timbre
Éventail